mercredi 23 septembre 2009

Pour les papilles

Mes petits plaisirs de la journée :

Pour le petit-déj’, le T Bar



J’ai commencé ma journée de manière plutôt agréable : je me suis offert un scone aux raisins secs, accompagné d’un thé rooibos (des lustres que je n’en avais pas bu !), le tout dans ambiance « salon de thé » . Je suis ressortie le sourire aux lèvres !
Ils servent aussi des sandwichs, des paninis, des tartes, etc. pour le déjeuner. Le « bap » camembert/jambon de dinde/confiture de cranberry n’est pas mauvais du tout : c'est du vécu de la semaine dernière ;-).

Pour le déjeuner, j’ai testé le Bean Bar



Il y en a à tout les coins de rue d’Adelaïde, et j’étais curieuse de savoir ce qu’ils proposent : café, thé, tout un tas de petits gâteaux tous plus appétissants les uns que les autres (c’est-à-dire pas recouverts de 15 couches de crème !), des sandwichs, des wraps, des paninis, etc. L‘atmosphère « zen/mangez-sain » m’a fait opter pour le panini végétarien (courgettes/aubergines/tomates/pousses d’épinards/huile d’olive), avec un jus d’orange sanguine… au ginseng. Le goût de ginseng surprend un peu au début, surtout quand on ne s’y attend pas (parce qu’on n’a pas bien lu l’étiquette), mais finalement c’est pas mal !

Deux adresses que je vous recommande donc si un jour vous avez l’occasion de (re)passer par Adelaïde.


T Bar, 44 Gouger Street, Adelaïde
http://www.tbar.com.au/

Bean bar, 4aGouger Street, Adelaïde

http://www.beanbar.com.au







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mardi 22 septembre 2009

Nanou et la chocolaterie

Aujourd'hui je suis allée dans une chocolaterie :-)

C'est mini-riquiqui, on n'y voit pas tellement le processus de fabrication du chocolat, mais c'était chouette quand même !

















Et non, je ne suis rentrée avec du chocolat tout autour de la bouche, ni plein les poches. J'ai été sage. Parce qu'en fait le midi j'ai mangé chez la grand-mère de Chris, et il n'y avait plus de place dans mon petit estomac. Surtout après le fondant au chocolat...

A tout bientôt !

lundi 21 septembre 2009

Coup de cœur pour Adelaïde

Quelques images et commentaires de la ville pour laquelle j’ai eu un coup de cœur :

Central Market



Où j’ai acheté ceci :


Gnnniiiiiiihhiiihihihahahahaaaaaaaaaaaaaaa !!!!

Ca m’a coûté un bras, mais je n’en ai fait qu’une bouchée !

Chinatown :




Une adresse à connaître pour de bons chocolats :






Un petit côté "New Orleans" :




Et un petit côté "côte est des Etats-Unis" pour le mélange architecural, du neuf à côté de l’ancien :






Le jardin botanique :





La librairie où j’ai déjà passé plusieurs heures :





Glenelg, l’une des plages autour d’Adelaïde :










Pour en voir plus, comme d’habitude, tout est sur Facebook !

A tout bientôt


vendredi 18 septembre 2009

L'aventure continue sur deux routes différentes.

Et oui, après plus de deux mois à vadrouiller, travailler, faire la fête, rire, pleurer, douter, être de mauvaise humeur, cogiter, péter ensemble, bref, Camille et moi faisons désormais route à part.
La demoiselle est partie à Bunbury, du côté de Perth (Western Australia), tandis que pour ma part je arrivée hier à Adelaïde (South Australia).

Ca fait tout drôle de ne plus avoir sa compagnonne de route à côté de soi. Mais comme les envies et les rencontres sont guides des voyages, on les suit. Camille a eu envie de retourner sur la côte ouest, alors que je veux découvrir le sud, et petit à petit retrouver deux amis qui se sont installés à Melbourne.


Je vais donc passer quelques jours à Adelaïde, à arpenter les rues, m’émerveiller d’être à nouveau dans une « grande » ville (en tout cas plus grande que Darwin et Alice Springs), faire des photos (encore ?!?), aller au cinéma, boire des coups dans des pubs à écouter des concerts en live, bref : en profiter.


Après ça, direction Mount Gambier, à environ 6 heures de route vers l’est. Là, je passerai deux semaines à garder deux enfants de 2 et 4 ans, dans une ferme. Juste pour le délire d’être dans une ferme avec des moutons, et de vivre dans une famille australienne au beau milieux de paysages magnifiques.


Début octobre, direction Melbourne, chez Brice et Anne-Gaëlle : deux Frenchies récemment installés en Australie. Et histoire de bien les emmerder, je vais y rester environ 1 mois. Le temps d’essayer de trouver un petit boulot pour renflouer un peu les caisses, et le temps de découvrir la ville.


Ensuite, il sera temps de rallier Perth, où mes deux loupiottes (Emilie et Cécile, deux amies de Bordeaux) atterriront. Au programme : un superbe road trip de 3 semaines, de Perth à Darwin.
Puis Noël sera presque là… et cette année, il sera fêté dans une ambiance saïgonnaise, avec la famille côté Dussouchet, mais aussi Camille qui m’y aura rejointe. De là, nous partiront pour le nord du Vietnam, avant de faire le Laos, la Thaïlande et le Cambodge, durant 3-4 mois.


Quant à la suite…


Je vais déjà me contenter de vous raconter Adelaïde en images dès que possible.


A tout bientôt !

Erldunda’s jukebox

Pour accompagner le post précédent, voici quelques unes des chansons qu’on avait l’habitude de jouer sur le jukebox du bar, ou d’entendre dans la cuisine. Vous n'avez plus qu'à cliquer sur "play" !


Attention : il y a de tout !








Découvrez la playlist Erldunda's jukebox avec P!nk

jeudi 17 septembre 2009

Dans ma road house, il y a…

Comme je suis très à jour dans mon blog, c’est une fois partie d’Erldunda que je vais vous raconter un peu cette chouette aventure.


Camille et moi avons trouvé un job dans une road house, alors que nous faisions route vers Coober Pedy, mi-juillet. Ca tombait à pic : les finances de Camille étaient au plus bas, et mon porte-monnaie n’allait pas tarder à crier famine. Et puis, il faut aussi dire que l’idée de travailler au beau milieu de nulle part nous séduisait assez. Alors va pour l’expérience : Camille et moi au take-away (le magasin de la road house en bref), avec quelques heures en cuisine de temps en temps, mais aussi au bar pour Camille et à la réception pour moi.







Erldunda, c’est avant tout un lieu très particulier.


En effet, Erldunda est située à 200 km au sud d’Alice Springs, et à 265 km d’Uluru. A la fois ambiance western et oasis en plein outback, le sable rouge étant la note dominante.







Sans oublier le générateur… ah ! Le générateur. Celui qui tourne sans cesse, nuit et jour, vous empêchant de dormir du sommeil du Juste si par malheur votre chambre est située à moins 10 mètres.



Sans oublier non plus l’eau qui est puisée à des kilomètres de là, et traitée par environ 400 produits chimiques (juré j’exagère pas !). Conséquences pour les malchanceux comme moi : une belle allergie, causant des irritations qui se transforment en brûlures des genoux au cou et des nuits sans sommeil car passées à essayer de calmer la douleur, sans succès. Que faire pour éviter cela ? Avoir des collègues qui sont passé par là avant et ont une crème efficace, et ne plus se laver qu’à l’eau du puits. Le luxe hein ? Sauf quand ça signifie qu’il faut porter 15 litres d’eau tous les 4-5 jours, de la cuisine à la chambre. Cependant, ça fonctionne très bien, et depuis je vais bien mieux, merci J Mis à part le fait que j’ai de magnifiques traces sur les bras. Mais bah ! Je me dis que ça finira bien par partir.



Erldunda, c’est aussi des gens



Il y a d’abord Dave, le manager du take away.




Un homme au cœur d’or, qui préfèrera toujours se faire engueuler par le manager de la road house à notre place. Qui se moque d’exposer la raie de ses fesses devant les clients : le pantalon est trop court, le t-shirt aussi… bon, et alors ? Qui se faisait beau quand parfois il devait travailler au bar (autrement dit se vidait un pot de gel sur les cheveux et mettait un pantalon noir). Qui a recommencé à sourire quand sa dulcinée est revenue travailler à Erldunda.



Vicky, ladite dulcinée.






La cinquantaine, ronde, à la coiffure plus que douteuse (un blond décoloré, mélangé à un brun et à une sorte de rose pâle, selon la couche de cheveux). Une femme pleine d’énergie, dont le regard pétille lorsqu’elle croise celui de son homme. Une femme particulièrement gaie de vivre quand le champagne s’en mêle, autrement dit tous les soirs, en promettant de ne pas remettre les pieds dans le bar le lendemain… jusqu’au lendemain.


Bev.






Bev, c’est le petit bout de femme de soixante printemps, qui fume trop et en tousse à tout va, ne boit que du slushy (sorbet fondu) ou du café, ne peut pas avaler plus de deux verres de vin sous peine de se prendre la table de billard là, juste derrière, et de ne pas pouvoir aller travailler le lendemain. Le genre qui vous place, ni vu ni connu, que « tiens, c’est-ce qu’un de mes maris a fait je crois », mais qui ne dit jamais combien de maris elle a eu.


Kayla





La petiote de l’équipe. Une minette de 17 ans, arrivée il y a 5 mois, avec l’objectif d’économiser suffisamment d’argent pour pouvoir passer quelques mois en Indonésie, avec ses demi-frères et sœurs. Celle qui a quitté l’école à 16 ans parce c’était bien trop chiant, qui ne sait donc pas ce qu’est un verbe ni un adjectif, mais qui déborde pourtant d’une curiosité et d’une vivacité qui la mèneront loin. Celle qui a appris un peu de français avec nous et demande aux clients : « Voulez-vous manger du poulet », juste pour voir s’il la comprenne.


Julie & Wayne






Le couple du bar. La barmaid et son barman. Ou plutôt l’ancien couple du bar, puisqu’à présent ce sont Ashley et Donna qui le tiennent.
Julie et Wayne, se sont deux cinquantenaires qui se sont trouvés après un premier mariage raté (chacun de leur côté hein !), sont fous amoureux l’un de l’autre et le montrent (Wayne nous a fait une déclaration à la fois touchante et hilarante de son amour pour Julie, après être tombé de son banc, un coup ou deux de trop dans le nez). Un couple qui a décidé que la vie était bien trop courte pour passer son temps à supporter des gens et faire un boulot qu’on n’aime pas. Qui du coup vadrouille à travers l’Australie au gré des envies et des rencontres.



Ashley & Donna





Le nouveau couple du bar. Encore deux cœur en or. Qui vont faire des compliments, et tout de suite après sortir une vanne, parce que faut pas se prendre trop au sérieux non plus. Qui vont faire des câlins, sortis de nulle part, juste pour dire « T’en vas pas, reste avec nous à Erldunda ! ».




Chris





Chris, c’est le plus grand buveur de "Southern Comfort" (whisky-coca déjà mélangés, en cannette) de toute l’Australie. Celui qui va sortir des « Hey babe, it’s my birthday today. C’mon, don’t be shy luv! » à tout bout de champs, et à qui voudra l’entendre. Celui qui a eu suffisamment pitié de moi pour me prêter sa crème anti-boutons (souvenez-vous, à cause l’eau), parce que lui-même a fait une allergie… au niveau de l’entre-jambe. C’est aussi celui avec qui j'ai prends l’avion pour Adelaïde, puisque c’est la ville où il a grandit.



Et puis il y a aussi… oh et puis zut, décrire tout le monde serait sans fin. Et puis je pense que ça vous suffit pour ressentir un peu l’ambiance, non ?



Vous l’aurez compris, Erldunda est un endroit dont on ne repart pas inchangée. Des rencontres dans tous les sens (entre les collègues qui partent et ceux qui les remplacent ; les touristes, les guide touristiques, etc.), des soirées parfois très calmes, parfois très (trop) animées à tel point qu’on arrive encore un peu éméchée au boulot le lendemain, faisant rire toute la galerie ; l’horizon aux couleurs fascinantes (du bleu, du gris, du rouge, du rose, du orange, selon l’heure et le temps) ; le kangourou qui se balade à côté du chat des managers, suivis de l’émeu et du chien (au début ça fait un peu bizarre) ; le ciel rempli de millions d’étoiles ; les mouches aussi collantes qu’agaçantes ; les road trains tout illuminés qui s’arrêtent le long de la route, le temps de prendre un café et de nous faire rêver.



Un endroit où au fond, quand on y pense, il ne se passe pas grand chose, mais dont on repart le cœur gros.



Et puis on reprend la route vers de nouvelles aventures, le sourire aux lèvres à l’idée des prochaines rencontres et des expériences à venir.



Prochaine étape : Adelaïde !



A tout bientôt !



As usual, les photos sont sur Facebook !
















mardi 15 septembre 2009

Le sourire accroché derrière les oreilles !

Eh ben moi hier soir j'ai eu droit à un super chouette cadeau : un très bel harmonica, à la taille idéale pour se glisser dans la poche. Petit cadeau d'au revoir de Camille, puisque nos routes se séparent demain pour les 3 prochains mois.



(Vous noterez la moche moquette. Et encore, vous n'avez pas les odeurs de pieds...)



Ne reste plus qu'à apprendre à en jouer...

Je suis toute contente !!

dimanche 13 septembre 2009

Oh les beaux ongles !

Oui, Camille s'est fait les ongles. Des mains ET des pieds s'il-vous-plaît !





Exclamations et admiration je vous prie !

C'était écrit...

Voici ce que j'ai écrit à Camille, dans un petit carnet que nous lui avons offert pour son départ en Australie en décembre dernier :




"M'en fous, je te rejoindrai dans le trou perdu où tu seras en Australie ! Eclate-toi bien ma belle, apprends-leur "Attila Marcel"".

Ca, c'était donc en décembre, et je n'avais absolument pas pris la décision de partir à mon tour. Mais ce soir-là, Camille m'a dit : "Mais qu'est-ce qui te retiens vraiment de venir ?".

En effet...

Un mois plus tard, je faisais ma demande de visa et achetais mon billet d'avion dans la foulée. Encore 6 mois plus tard, Camille et moi nous rejoignions en Australie, quelque part entre Darwin et Alice Springs, un peu au milieu de nulle part, avant de trouver un job dans le fin fond de l'Outback.

Comme quoi...
P.S : cet ongle rose n'est pas le mien !

L'un des plaisirs de la journée (après le fromage) :

Et sinon aujourd'hui je me suis acheté une toile aborigène dont je suis tout simplement amoureuse :



Judda, l'artiste qui a peint la toile

Bon vous l'aurez compris, Camille et moi avons quitté notre Outback profond, pour de nouvelles aventures. Mais comme il faut que je raconte ls choses à peu près dans l'ordre, les détails viendront plus tard !

A tout bientôt !

Que font deux Françaises qui retrouvent la civilisation après 2 mois passés dans l'outback ?

Elles se ruinent en fromages, en pain et en saucisson et s'asseyent comme deux clochardes dans le 1er parc alentours !



Qu'est-ce que c'était bon !!

mercredi 9 septembre 2009

On the road to Coober Pedy

Le 14 juillet, à des milliers de kilomètres des défilés sur les Champs Elysées, nous avons pris la route pour Coober Pedy, dans le South Australia.


Nous, c’est Djey, Phil, André, Camille et moi. En principe, vous avez lu tous les posts précédents (hein que vous avez lu tous les posts précédents ???), donc vous voyez de qui je parle. Je précise simplement que Phil était le seul anglophone à bord (car Grand-Breton), puisque je ne pense pas l’avoir dit plus tôt. En gros, on lui posait tout un tas de questions idiotes pour savoir comment dire ci ou ça en anglais, ce dont il n'avait bien entendu aucune idée.


La première journée est passée plutôt vite : hormis Djey qui conduisait, nous avons tous dormi ! Ou plus ou moins… oui parce que nous voyagions à bord de Youschka. Ne vous méprenez pas : Youschka était un chouette van. Mais un van qui sentait l’essence, qui avait plein de trous au niveau des jointures des fenêtres (alors qu’il faisait plutôt frais), et dont les amortisseurs avaient rendu l’âme une décennie plus tôt. Difficile donc de trouver une position vraiment confortable. Alors parfois on dormait, parfois on discutait, parfois on rêvassait devant les magnifiques paysages. C’est d’ailleurs là que je suis tombée amoureuse des grands espaces.




Une petite baraque, casée à côté d'une station essence désolée



Arrivés sur ce qu’on appelle une « rest area » (une aire de repos donc), où nous avons décidé de passer la nuit, tout le monde s’est affairé pour :
1. Manger vite parce qu’il faisait faim
2. Faire un feu parce qu’il faisait froid





Le repas était fort original : des pâtes bolognaises si je me souviens bien. Ou était-ce le repas du lendemain ? Bon, toujours est-il que nous avons mangé des pâtes plusieurs soirs, tout bonnement parce qu’en principe c’est simple et assez rapide à faire.

Après avoir dévoré le dîner, tout le monde s’est collé au feu pour se réchauffer. Puis il a fallu aller se coucher… Djey et Camille dormaient dans le van, tandis qu’André, Phil et moi dormions dans la tente… Bordel de merde ce que j’ai eu froid !!!!! J’ai dormi avec :
- deux paires de chaussettes
- mon pantalon de pyjama
- un pantalon
- un t-shirt
- une polaire
- un pull
- la « tasmanian jacket » de Djey (veste très chaude)
- mon sac de couchage
- des couvertures
- mon écharpe sur la tête
- et sur un mini matelas pour me protéger du froid du sol


Et ben j’ai quand même super mal dormi. Et ça a été la même chose le lendemain. Sachant qu’à Alice aussi, les nuits avaient été plutôt fraîches. Ah ! La vie de bohème !


Mais le lendemain a effacé la mauvaise nuit : ce qu’on avait sous les yeux était magique (enfin, pour peu qu'on aime le bush) :





Après avoir pris un bon petit déjeuner et plié le campement, nous sommes partis en direction Coober Pedy.



Un toaster improvisé




Quand tout doit rentrer dans le van...



Coober Pedy est une ville… fascinante. Nous avons cherché le terme adéquat pendant un petit moment, et sommes tombés d’accord sur « fascinante ». Non parce qu’en soit, Coober Pedy, c’est pas beau. C’est intéressant, c’est bizarre, mais c’est pas beau.


Nous avons fait un petit tour dans les boutiques d’opale (puisque Coober Pedy est la capitale d’opale du monde : l’activité principale étant le travail dans les mines d’opales), avons été dans une église souterraine, une bibliothèque souterraine, bref : nous avons fait les touristes.









Puis nous sommes remontés dans Youschka pour aller voir les alentours :









Enfin, nous sommes retournés « en ville », pour y déposer André. Le pauvre a dû passer deux jours dans cette ville-fantôme, avant de prendre l’avion pour Adelaïde… ça nous a fait quelque chose de l’abandonner là… Mais nous avons eu de ces nouvelles depuis : il a survécu et n’est pas tombé dans une mine d'opal.


Quant à nous, et bien nous avons repris la route vers le nord : Djey et Phil pour visiter Uluru, Kata Tjuta et Kings Canyon, Camille et moi pour commencer à bosser… à Erldunda !

Et ouaich, j'ai conduit Youschka :-)))


Si vous voulez voir plus de photos, il y a Facebook (je vous ai envoyé les liens par email. En principe, même ceux qui ne sont pas inscrits devraient pouvoir voir les photos).


A tout bientôt !